Modèles et formulaires

Tableau de suivi & KPIs dans Excel ( dynamique) : Exemples et Cas d’écoles

Un tableau de suivi & KPIs dans Excel sert de cockpit commun. Il aligne l’équipe, montre les priorités, révèle les bloqueurs et confirme les avancées. Il se lit en cinq secondes et il aide à décider maintenant.

Avec des semaines qui filent. Des tâches se cochent, d’autres s’ajoutent, un budget glisse, un délai serre. Dans ce flux, un bon fichier de suivi avec KPIs n’est pas qu’un tableur : c’est un point d’ancrage. On utilise souvent un tableau de suivi & KPIs dans Excel pour décider, pour arbitrer, pour rassurer. Il parle clair, il tient dans une page imprimée, et il met la même information sous les yeux de tous — sans débat sur « qui a la dernière version ».

Ce qui suit est un guide humain, pragmatique, pour tirer le meilleur d’un modèle Excel moderne : base de données propre, paramètres maîtrisés, tableau de bord lisible, couleurs utiles, automatisations discrètes mais efficaces.

Idée directrice
Un tableur de suivi sert d’abord à prendre de meilleures décisions, pas à tout mesurer. On le construit pour l’action, on le colorie pour la lisibilité, on l’automatise pour gagner du temps — et on le garde simple.


Pourquoi un modèle Excel Tableau de suivi & KPIs ?

Parce qu’un projet, une équipe, une activité ne se résument pas à une liste. Il faut des repères : ce qui est terminé, ce qui patine, ce qui coûte, ce qui arrive en retard. Un modèle pensé « suivi + KPIs » vous donne d’un coup d’œil :

  • le volume d’éléments à gérer ;
  • le taux d’avancement (qu’est-ce qui est réellement terminé ?) ;
  • les retards (où mettre l’effort tout de suite ?) ;
  • l’impact financier (montants totaux et panier moyen) ;
  • la tendance mensuelle (on progresse ou on s’éparpille ?).

Le tout en gardant le grain fin : chaque ligne reste une histoire — une échéance, un responsable, une note.


Ce qui fait la différence : structure, couleurs, automatisations

Un Tableau de suivi utile s’appuie sur trois piliers.

1) Une base de données simple mais solide

Une feuille « Base_donnees » formatée en tableau structuré (Excel) :
Date, Projet, Catégorie, Responsable, Statut, Échéance, Montant, Quantité, Priorité, Note.
Les listes déroulantes (Statut, Priorité, Catégorie) évitent l’orthographe fantaisiste et maintiennent des filtres fiables.
Les formats (dates, €) sont homogènes. L’ajout d’une ligne sous la dernière étend automatiquement le tableau : on ne « casse » rien.

2) Des paramètres en clair

Dans « Parametres », vous nommez le fichier (titre visible sur le tableau de bord), vous ajustez la palette (pour l’identité visuelle), vous fixez une cible d’avancement (par exemple 80 % terminés à la fin du mois) et vous définissez Statuts / Priorités / Catégories selon votre métier.
Ce n’est pas cosmétique : changer un mot dans une liste, c’est changer une habitude d’équipe. Faites simple et stable.

3) Un tableau de bord qui parle humain

La feuille « Tableau_de_bord » affiche des tuiles KPI (Total, % Terminé, En retard, Montant total, Panier moyen), une barre par statut (équilibre réaliste entre « À faire », « En cours », « Bloqué », « Terminé ») et une courbe mensuelle (tendance sur l’année).
Les couleurs ne crient pas : elles guident. Les retards s’illuminent automatiquement si l’échéance est passée et que ce n’est pas terminé. On repère les urgences en 3 secondes.


Mise en route en 12 minutes (vraiment)

  1. Ouvrir le fichier et jeter un œil au Guide (mode d’emploi concis).
  2. Dans Parametres, adapter le Titre, la palette, la cible KPI (ex. 80 %).
  3. Compléter les listes (Statuts, Priorités, Catégories) à votre vocabulaire.
  4. Dans Base_donnees, saisir 10–20 lignes réelles : une ligne = un élément à suivre.
  5. Vérifier que les dates et s’affichent correctement (jj/mm/aaaa et €).
  6. Regarder Tableau_de_bord : si les tuiles « parlent », vous êtes prêt.

Astuce : commencez avec peu de catégories (4–6 max). Trop de nuances tue la lecture et ralentit les décisions.


Des cas d’usage concrets (et complémentaires)

  • Marketing / Produit : campagnes, livrables créa, sorties de version, petits achats. KPI clés : % terminé, retards, budget consommé, panier moyen par lot d’actions.
  • Qualité / HSE : audits, actions correctives, non-conformités, formations. KPI clés : retards (critique), % clôture, dispersion par catégorie.
  • Maintenance / Logistique : préventif, réceptions matière, commandes critiques. KPI clés : retards, montants, quantité par poste, équilibre des priorités.
  • Finance / PMO : tâches de clôture, points de contrôle, arbitrages. KPI clés : % terminé vs échéances, montants mensuels, goulots « En cours ».

Le même modèle sert partout parce que la mécanique est universelle : une date, un statut, un impact, un responsable.


Le rituel d’équipe qui change tout

Un fichier ne crée pas la culture ; le rituel oui. Essayez ceci :

  • Lundi 9h10 (15 minutes) : revue rapide du Tableau_de_bord. On commence par les retards.
  • Milieu de semaine (10 minutes) : point « Bloqués » uniquement. On lève un obstacle chacun.
  • Vendredi 16h00 (5 minutes) : mise à jour Statut et check des échéances. On sécurise la semaine suivante.

La magie est là : des rendez-vous courts, toujours sur la même page. Pas de surprise, pas de débat d’export. La donnée appartient à l’équipe.


Les chiffres ne suffisent pas (et c’est très bien)

Oui, un taux de complétion qui grimpe est agréable. Mais un pourcentage ne raconte pas tout :

  • Cohérence : ce qu’on termine sert-il vraiment la stratégie ?
  • Transférabilité : ce que j’ai appris me simplifie-t-il la semaine prochaine ?
  • Cadence : l’intervalle entre deux tâches « utiles » est-il vivable pour l’équipe ?

Un bon tableau de bord ouvre la discussion. Il ne la remplace pas.


Ce que le modèle automatise pour vous

  • Coloration automatique des retards : pas besoin de chasser les dates.
  • Listes déroulantes cohérentes : filtrage propre, zéro variation d’orthographe.
  • Références structurées : vous ajoutez des lignes, tout suit (KPIs, graphiques).
  • Graphiques auto-alimentés : la barre par statut et la courbe mensuelle se mettent à jour seules.
  • Mise en page A4 paysage : vous imprimez, c’est propre (réunion, affichage, financeur).

L’automatisation ne doit pas être « spectaculaire ». Elle doit vous libérer du petit travail pénible, c’est tout.


Erreurs classiques Comment éviter

1) Trop de colonnes.
Le réflexe : “on ajoute la complexité au cas où”. Résultat : personne ne remplit.
Remède : 10 colonnes utiles, pas une de plus. La note libre sert aux cas particuliers.

2) Statuts poétiques.
“Quasi ok”, “presque bouclé”, “à deux doigts”…
Remède : 4 mots max (À faire, En cours, Bloqué, Terminé). On gagne en clarté.

3) Échéances floues.
Une date « estimée » ballotée d’une semaine à l’autre mine la confiance.
Remède : on confirme ou on modifie explicitement la date, en équipe.

4) Graphiques décoratifs.
Un donut joli mais inutile ne vaut pas 10 minutes en réunion.
Remède : une barre (statuts), une courbe (tendance). C’est tout.


Personnaliser sans casser : votre palette, vos cibles, vos catégories

  • Palette : conservez un contraste net pour l’accessibilité (fond clair, texte foncé, accents mesurés).
  • Cible KPI : choisissez-la réaliste (70–85 % selon le rythme d’équipe). Une cible atteignable soutient la motivation.
  • Catégories : limitez-vous à celles qui aident à décider (Produit, Marketing, Finance, Qualité, Maintenance, Logistique, etc.). Supprimez les fourre-tout.

Mini-checklist
□ Le tableau de bord tient en une seule page.
□ Je comprends en 5 secondes où sont les urgences.
□ Les listes déroulantes reflètent le métier.
□ Le rituel d’équipe est posé dans l’agenda.


Exemple : une semaine ordinaire… rendue claire

Lundi matin, la courbe mensuelle grimace un peu : plusieurs montants glissés en fin de mois. Trois lignes apparaissent en jaune (retard). On ouvre la barre « Bloqué » : une attente de données, un arbitrage budgétaire, un fournisseur silencieux.
Mardi, le responsable logistique réceptionne et passe deux lignes en Terminé. Le taux grimpe de 8 points ; la pression retombe.
Jeudi, la maintenance avance un préventif ; vendredi, le marketing valide sa brochure. Sur la page imprimée, la barre « Terminé » s’allonge. On a fait le bon travail — et on le voit.


Imprimer pour décider, partager pour agir

Le tableau de bord est pensé A4 paysage. On peut l’afficher près de l’équipe, l’emporter en réunion, l’envoyer en PDF. Le fichier reste la source ; la feuille imprimée devient support de dialogue.
On n’essaie pas d’y tout mettre : juste ce qu’il faut pour prioriser et synchroniser.


Variantes possibles (quand vous serez prêts)

  • Vue par responsable (mini-KPI par personne).
  • Seuils d’alerte (montant > X € en surbrillance).
  • Segmentation par catégorie (onglet focus « Qualité » ou « Maintenance »).
  • Export PDF auto via macro légère (si votre environnement le permet).

Commencez simple. Ajoutez lorsque le rituel est installé.


Un bon fichier de suivi doit apporte de la clarté, maintient la discipline douce du rituel d’équipe, et fait gagner du temps aux personnes qui font. Le reste — couleurs, graphiques, cibles — n’est là que pour servir cette idée.

Cas d’école — Tableau de suivi « Lancement Produit B (série pilote) » dans Excel

Dans ce cas, on est parti d’un besoin clair.

Rien de grandiloquent ici : on doit sortir une série pilote, la confronter à un vrai client pour voir si ça tient, et mettre l’usine en position d’appuyer sur Start. L’équipe est au complet : Claire pose le cadre, Marc côté qualité garde l’œil sur les risques, Alexandre porte le produit, Hugo verrouille les composants, Julien surveille les euros, Élodie forme les équipes, Sophie et Nadia mettent les machines en musique, Pauline prépare la vitrine marketing, et Inès tranche entre les options de design.

Janvier–mars : poser les bases sans maquiller la réalité.
Cadrage terminé, AMDEC initiale posée : deux modes de défaillance au-dessus du seuil, notés, assumés. On commande les moules pilote (8,2 k€) et on avance. Rien de spectaculaire, mais une base propre : exigences validées, risques écrits, budget engagé là où il faut.

Avril–juin : fabriquer, casser un peu, corriger vite.
Maquette 3D révisée, plan de contrôle réception prêt, préventif machine effectué avant essais. Première vague de prototypes (v1) : dix pièces sortent, tests fonctionnels dans la foulée, deux non-conformités mineures. On ajuste l’outillage (jeu réduit de 0,1 mm) et on relance. La v2 tombe conforme ; le packaging provisoire passe en mode éco-responsable raisonnable. Le client Alpha teste et remonte du positif. Ça respire.

Juillet–septembre : passer du prototype à un vrai pilote.
Homologations basiques déposées, prévision d’achats pour la série pilote validée (slots réservés, 5,6 k€). Argumentaire prêt. On ne promet pas la lune, on promet ce qu’on tient : une série pilote propre, mesurée, sans poudre aux yeux.

Octobre : la rampe d’accès.
Formation de l’îlot (6 opérateurs), teasing LinkedIn côté marketing, ordre de fabrication du lot 100 lancé, plan de surveillance en cours. C’est la semaine où le projet change de rythme : plus de to-do, plus de gestes concrets sur la ligne, moins de présentations. Le contrat logistique tombe avec -8 % négociés, ça compte.

Début novembre : la vraie vie d’un atelier.
Trois signaux rouges qui forcent le pilotage fin — et qui montrent l’utilité du tableau de bord :

  • Rupture fournisseur sur un composant B (ligne Bloqué) : on sait où regarder, on ne se raconte pas d’histoires.
  • Check-list pré-série à faire côté maintenance : on anticipe les ennuis avant qu’ils n’arrivent.
  • BAT packaging à valider et bon de commande carton à passer : la vitrine doit suivre la cadence atelier.

À côté, les tâches « en cours » (fiche produit web, plan de surveillance, campagne social) avancent ; on voit tout de suite ce qui dépend d’un feu vert interne et ce qui dépend d’un tiers.

Ce que raconte le tableau de bord quand on l’ouvre.
D’un coup d’œil, on perçoit la répartition des statuts (À faire / En cours / Bloqué / Terminé), les urgences par échéance, et l’ordre des priorités sans ouvrir vingt fichiers. Le taux d’avancement grimpe régulièrement depuis l’été ; le courbe mensuelle montre la concentration des dépenses au moment des prototypes et des outillages, puis un plateau raisonnable. Pas de « couronne » décorative : une barre pour les statuts, une courbe pour la tendance, et cinq tuiles KPI qui parlent humain (combien, combien en retard, combien ça coûte, à quel rythme on clôture).

Les décisions prises à partir de ces faits (et pas d’opinions).

  1. Rupture composant B : bascule immédiate sur un stock de sécurité alternatif + slot transport express pour la réception critique.
  2. Plan de surveillance : finalisation avant fin de semaine, cartes de contrôle prêtes pour la montée en cadence du lot 100.
  3. BAT & cartons : séquence rapide « BAT → bon de commande → réception » pour ne pas saboter une série conforme par un emballage en retard.
  4. Formation : l’îlot est opérationnel ; on cale déjà la vague 2 pour éviter l’effet “goulot” au moment des premières dérives.

Ce qu’on apprend (et qu’on garde).

  • Le trio AMDEC tôt / prototypes rapides / correctifs visibles fait gagner du temps à la fin.
  • Un tableau de bord lisible vaut mieux qu’un reporting parfait : on voit les Bloqués et les retards en 3 secondes, on agit.
  • Le budget utile n’est pas celui qui s’affiche en gros, c’est celui qui enlève une friction (moules, réglages, packaging, slots).
  • La formation n’est pas un à-côté : c’est ce qui transforme un « lot pilote qui passe » en lancement série qui tient.

Et maintenant ?
Le lot 100 doit sortir au cordeau : surveillance serrée sur la réception des composants B, validation packaging sans re-travail, check-list maintenance appliquée la veille du démarrage, plan de surveillance actif dès la pièce n° 1. Le marketing pousse la fiche produit au bon moment, pas plus tôt. L’objectif n’est pas « faire tout », c’est terminer ce qui débloque la suite.

Cas QHSE – tableau de suivi par des KPi’s— “Faire proprement le travail, pas faire semblant”

Au départ, rien d’héroïque : une usine qui tourne, des équipes qui font de leur mieux, et l’envie simple de sécuriser le quotidien. On a donc ouvert un journal QHSE unique — pas pour cocher des cases, mais pour voir clair : ce qui arrive (incident, NC, presqu’accident), ce qu’on décide (action corrective/préventive), ce qu’on vérifie (audit, inspection EPI), et ce qu’on transmet (formation).

Les acteurs

  • Amina tient la barre côté production : franc-parler, sens du pratique.
  • Marc scrute la qualité, carnet en main, regard doux mais intransigeant.
  • Nadia et Sophie en maintenance : elles sentent les machines avant de les entendre.
  • Romain prend les coups à la réception, Hugo fluidifie les flux, Claire coordonne, Élodie forme sans dramatiser.
    Bref, une équipe normale — et c’est précieux.

Janvier–février : poser les bases sans se raconter d’histoires

On commence par un audit interne (production). Rien de méchant, un écart mineur sur un point ISO, mais la posture change : on écrit, on date, on assigne.
Deux semaines plus tard, non-conformité à la réception (étiquetage manquant). Ça aurait pu passer « à l’ancienne ». Non : Romain enregistre, Marc qualifie mineure, *coût 120 € (temps + reprise), clôture en 48 h. Ce n’est pas le montant qui compte, c’est la discipline.

Un incident suit en production : coupure superficielle, pas d’arrêt de travail. C’est précisément le genre d’événement qu’on oublie vite. Là, on l’a déclaré, analysé, et mis une action correctrice simple : réviser le geste, mettre à jour le standard opératoire. Rien de spectaculaire ; exactement ce qu’il faut.

Mars–avril : apprendre et protéger

Élodie lance une formation “gestes & postures” : 12 opérateurs formés. On ne s’attend pas à des miracles, on veut des réflexes.
Côté terrain, on enregistre un presqu’accident en expédition : collision évitée avec un transpalette. Sans journal, c’était “plus de peur que de mal”. Avec le journal, c’est un signal : on redessine la trajectoire, on ajoute une borne stop (action posée, budget clair), et on vérifie.

Inspection EPI en production : 25 équipements passés au peigne fin, 3 à remplacer. Ce n’est pas du théâtre. C’est payer le juste prix avant que ça coûte trop cher.

Mai–juin : les sujets vraiment sensibles

Une NC majeure apparaît sur une pièce hors tolérance. On l’écrit même si ça pique. En parallèle, un incident critique à la réception : chute d’un colis, suspicion de casse interne. L’étiquette critique ne sert pas à dramatiser, elle sert à prioriser. Résultat :

  • Quarantaine lot + contrôle renforcé à l’entrée,
  • Check-list manutention retravaillée,
  • Maintenance revoit sa fréquence de graissage (action préventive),
  • Audit “expédition” planifié, car l’aval est parfois la vraie source.

Été : continuer sans s’endormir

On pourrait se dire « c’est l’été, on lèvera le pied ». Non. Inspections EPI, petites observations bureautiques (stockage, câbles), formations 5S programmées. On met des petites pierres partout. C’est ce qui empêche les gros cailloux.

Septembre–novembre : la maturité

Plusieurs dossiers ouverts :

  • Plan d’actions préventives en maintenance (fréquences ajustées, butées de sécurité),
  • Audit fournisseur lancé avec Claire,
  • Ergonomie de poste suivie par Marc (audit + formation ciblée).

Et surtout, la transparence. Un presqu’accident en octobre (zone humide) : consigné, traité, communiqué. Pas de mail fleuve, pas de blâme. Un fait → une mesure → une vérification.

Ce que racontent nos chiffres (sans qu’on doive les forcer)

  • Le taux de clôture progresse parce que les dossiers sont tenus (pas parce qu’on les renomme).
  • Les NC ouvertes baissent lentement mais sûrement : chaque clôture a une preuve (photo, extrait standard, attestation de formation).
  • Le délai moyen de clôture se tasse au fil des mois. Pourquoi ? Parce qu’on traite au bon niveau : le chef d’atelier arbitre ce qu’il peut, la qualité n’encombre pas tout, la direction regarde mais ne déroge pas aux règles.
  • Les formations avancent vers l’objectif annuel (on ne cherche pas la case cochée, on cherche le geste retenu).

Les trois décisions qui ont tout changé

  1. Un seul journal QHSE, lisible. Fini les fichiers cachés et les “je te renvoie la dernière version”.
  2. Des rituels courts : lundi 9 h10 (retards et critiques), mercredi (seuls les bloqués), vendredi (clôtures + prochaines échéances). Quinze minutes, pas plus.
  3. Des actions à la juste échelle : un marquage au sol bien posé vaut parfois plus qu’un long process. Et quand c’est critique, on le traite comme tel.
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