Présentations PPT

Automatiser une présentation SWOT dans PowerPoint : méthode, outils et exécution pas à pas

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Télécharger un modèle de présentation SWOT dans PowerPoint éditable et automatisé ⬇️

Une analyse SWOT se construit souvent dans l’urgence : réunion de cadrage le matin, arbitrage l’après-midi, restitution le soir. Et, dans ce rythme, ce n’est pas l’analyse qui coûte le plus cher… c’est la mise en forme. Recopier des listes, aligner des blocs, harmoniser les couleurs, refaire une roadmap, ajuster un graphique. L’automatisation d’un modèle PowerPoint SWOT répond précisément à ce problème : sécuriser la cohérence du deck, accélérer la production et permettre des itérations rapides dès qu’une hypothèse change.

Ce guide explique comment exécuter l’automatisation d’une présentation SWOT dans PowerPoint selon trois niveaux, du plus simple (100% PowerPoint) au plus “industriel” (génération automatique depuis des données), en gardant un objectif clair : un deck éditable, propre, et réutilisable.


1) Ce que signifie “automatisé” dans PowerPoint (et ce qui ne l’est pas)

Dans PowerPoint, l’automatisation prend généralement deux formes :

Automatisation “native” (sans installation)

Elle s’appuie sur des fonctions intégrées :

  • Graphiques : vous modifiez les données, le rendu se met à jour.
  • Boutons cliquables / navigation : un menu renvoie vers des sections.
  • Gabarits / thèmes : une charte couleur, des styles typographiques, des mises en page réutilisables.

➡️ Avantage : immédiat, compatible partout, zéro friction.
➡️ Limite : PowerPoint ne “lit” pas automatiquement une liste de SWOT pour la répartir seul dans une matrice sans macro.

Automatisation “data-driven” (génération depuis des données)

Ici, l’automatisation signifie : vous modifiez un fichier de données (JSON, Excel exporté, etc.) et vous regénérez le PPTX automatiquement.

  • Les zones SWOT, KPI, TOWS, Roadmap sont remplies sans copier-coller.
  • Les couleurs peuvent être centralisées et réappliquées automatiquement.

➡️ Avantage : très rapide dès qu’on itère, reproductible, scalable.
➡️ Limite : demande une petite mise en place (Node + script), ou une macro PPTM si vous voulez rester “tout PowerPoint”.


2) Niveau 1 — Exécuter l’automatisation directement dans PowerPoint

C’est le niveau le plus simple et souvent le plus utile en contexte réel (réunion, comex, atelier).

A) Navigation automatique via le menu

  1. Ouvrez votre deck.
  2. Allez à la slide Menu (boutons cliquables).
  3. Cliquez sur Matrice SWOT / KPI & Graphiques / Stratégies TOWS / Roadmap.

Ce que ça automatise : l’accès aux sections et le déroulé de présentation.
Pourquoi c’est utile : votre deck devient “pilotable”, comme une mini-application : on saute au bon endroit sans scroller.

B) Graphiques “automatiques” (mise à jour en 30 secondes)

  1. Allez à la slide KPI & Graphiques.
  2. Clic droit sur le graphique → Modifier les données.
  3. Remplacez les valeurs → le graphique se recalculera immédiatement.

Ce que ça automatise : la mise à jour du visuel (pas besoin de refaire un histogramme à la main).
Conseil pratique : gardez des libellés stables (Forces, Faiblesses, Opportunités, Menaces) pour éviter les décalages de catégories.

Ce niveau est parfait si vous voulez une automatisation “propre” sans toucher à une ligne de code.


3) Niveau 2 — Automatisation complète : générer le PPTX depuis un fichier de données (JSON → PPTX)

C’est ici que l’automatisation devient visible “dans le travail” : vous ne retapez plus vos contenus dans PowerPoint, vous les injectez.

A) Le principe (très concret)

  • Vous avez un fichier swot_data_swot.json
    (vos Forces/Faiblesses/Opportunités/Menaces + KPI + Roadmap + couleurs)
  • Vous lancez une commande
  • Le script produit un nouveau Modele_PPT_SWOT_automatisation_editable.pptx rempli

Résultat : un deck actualisé, cohérent, prêt à présenter.

B) Préparer votre dossier d’exécution

Créez un dossier, par exemple :

  • Windows : C:\SWOT_PPT\
  • Mac : ~/SWOT_PPT/

Mettez dedans :

  • swot_data_swot.json
  • generate_swot_ppt_from_json_portable.js

C) Installer le prérequis (une seule fois)

Il faut Node.js (environnement d’exécution JavaScript).
Ensuite, dans le terminal ouvert dans le dossier, exécutez :

npm init -y
npm i pptxgenjs

Ce que ça fait :

  • npm init -y initialise un mini projet (création d’un package.json)
  • npm i pptxgenjs installe la librairie qui sait écrire des PPTX

D) Générer le deck automatiquement

Toujours dans le même dossier :

node generate_swot_ppt_from_json_portable.js swot_data_swot.json Modele_PPT_SWOT_automatisation_editable.pptx

Vous obtenez un PPTX régénéré.

E) Modifier les couleurs (automatisation de la charte)

Dans swot_data_swot.json, vous avez une zone brand :

  • accent (couleur dominante)
  • bg (fond)
  • text (texte principal)
  • muted (texte secondaire)
  • strength / weakness / opportunity / threat (couleurs des 4 blocs)

Exemple (HEX sans #) :

"brand": {
  "accent": "2563EB",
  "bg": "F8FAFC",
  "text": "111827",
  "muted": "6B7280",
  "strength": "16A34A",
  "weakness": "DC2626",
  "opportunity": "2563EB",
  "threat": "F59E0B"
}

Vous changez ces valeurs, vous relancez la commande, et le deck sort avec la nouvelle identité.

F) Pourquoi cette méthode “vaut le coup”

  • Vous pouvez itérer très vite : “on ajoute 2 menaces”, “on change la roadmap”, “on modifie les KPI”
  • Vous évitez les erreurs de mise en page : pas de police différente, pas de bloc mal aligné
  • Vous facilitez le travail d’équipe : la personne qui produit le contenu met à jour le JSON, la personne qui présente récupère le PPTX

4) Niveau 3 — “Vraie” automatisation interne PowerPoint : le PPTM (macro VBA)

Si votre objectif est celui-ci :

“Je remplis une table dans PowerPoint et la matrice SWOT se met à jour automatiquement, sans Node et sans JSON.”

…alors il faut un fichier PPTM (PowerPoint macro-enabled), avec un bouton type :

  • “Générer SWOT”
  • “Mettre à jour les KPI”
  • “Construire les stratégies TOWS”

C’est le niveau le plus “intégré” dans PowerPoint, mais il implique :

  • un format PPTM,
  • l’activation des macros sur le poste,
  • parfois des restrictions en entreprise (sécurité).

Quand le choisir ?

  • si vous devez rester “full Microsoft”,
  • si l’environnement ne permet pas Node,
  • si les utilisateurs veulent tout piloter via un bouton.

5) Bonnes pratiques pour que l’automatisation reste robuste

A) Limiter la longueur des items

Une SWOT efficace repose souvent sur 5 à 8 points max par quadrant. Au-delà, la lisibilité baisse, et vous basculez en annexe.

B) Travailler par “versions” de données

Gardez une logique simple :

  • swot_data_swot_v1.json
  • swot_data_swot_v2.json

Ainsi, vous pouvez revenir en arrière sans stress.

C) Séparer “constat” et “décision”

Dans une restitution, le deck est plus solide si :

  • La matrice montre le constat (SWOT)
  • La slide TOWS formalise l’intention stratégique
  • La roadmap concrétise (qui fait quoi, quand)

L’automatisation doit servir ce chemin, pas seulement “remplir des cases”.


6) Dépannage rapide : les erreurs les plus fréquentes

“node n’est pas reconnu”

Node.js n’est pas installé, ou le terminal n’a pas été relancé.

“Cannot find module ‘pptxgenjs’”

Vous n’êtes pas dans le bon dossier, ou npm i pptxgenjs n’a pas été exécuté dans ce dossier.

Caractères spéciaux (accents) cassés

Ouvrez et enregistrez le JSON en UTF-8 (VS Code / Notepad++). Évitez les éditeurs qui changent l’encodage.

Le deck sort, mais certains blocs sont trop chargés

Réduisez le nombre de points par quadrant, ou raccourcissez les formulations. Une phrase SWOT doit être “compacte” : sujet + impact.


synthèse 😉 choisir votre automatisation selon votre besoin réel

  • Vous préparez une présentation rapidement, sans technique :
    Automatisation native PowerPoint (menu + graphiques + gabarit).
  • Vous itérez souvent (versions, projets, clients), et vous voulez produire vite :
    Automatisation data-driven JSON → PPTX.
  • Vous voulez un bouton “mettre à jour” directement dans le deck, sans terminal :
    PPTM macro.

Présentation SWOT dans PowerPoint



Cas pratique — SWOT complète (exemple entreprise)

Contexte de l’entreprise (scénario réaliste)

Imaginons AtlasDelice, une PME marocaine (30 salariés) qui fabrique et vend des produits agroalimentaires premium (huile d’olive, miel, épices, coffrets cadeaux). L’entreprise réalise l’essentiel de son chiffre d’affaires via trois canaux : boutiques partenaires, e-commerce et vente B2B (hôtels, riads, épiceries fines). Après une phase de croissance rapide, la direction souhaite structurer sa stratégie 12 mois : consolider la marge, sécuriser l’approvisionnement, et accélérer l’export vers l’Europe.

Dans ce contexte, la SWOT n’a pas pour objectif de “remplir une matrice”, mais de rendre visible une réalité opérationnelle : ce qui soutient la performance, ce qui l’affaiblit, ce qui peut l’amplifier, et ce qui peut la casser.


FORCES (Strengths)

  1. Qualité produit éprouvée et différenciation claire
    AtlasDelice maîtrise la sélection des matières premières et la traçabilité, ce qui renforce la confiance des clients et soutient un positionnement premium. La qualité n’est pas un slogan : elle se constate dans la régularité, les retours clients et la capacité à justifier le prix.
  2. Marque authentique et storytelling territorial
    L’entreprise capitalise sur un ancrage local fort (terroir, producteurs, savoir-faire). Cette dimension narrative crée un avantage en marketing, notamment à l’export où l’authenticité est un levier de valeur.
  3. Canal e-commerce déjà opérationnel
    Même s’il n’est pas encore optimisé à 100 %, l’e-commerce existe, vend, collecte des données, et peut être accéléré sans repartir de zéro. Cela permet de tester rapidement des offres, des bundles et des campagnes.
  4. Portefeuille B2B stable sur le segment hôtellerie/épiceries fines
    Les commandes récurrentes offrent une base de chiffre d’affaires plus prévisible, utile pour lisser la saisonnalité des ventes et sécuriser la trésorerie.
  5. Capacité d’innovation sur les coffrets et éditions limitées
    AtlasDelice sait créer des produits “signature” à forte désirabilité (coffrets fêtes, éditions terroir). Cette agilité produit est précieuse pour stimuler la demande et augmenter le panier moyen.
  6. Relation directe avec une partie des producteurs
    Les liens avec des producteurs locaux réduisent certains intermédiaires, renforcent la traçabilité et facilitent des ajustements rapides (volumes, conditions, qualité).

FAIBLESSES (Weaknesses)

  1. Dépendance à quelques références best-sellers
    Une partie significative du chiffre d’affaires repose sur un nombre réduit de produits. Cette concentration crée une fragilité : rupture de stock, hausse des coûts, baisse de qualité, ou concurrence directe sur ces références.
  2. Pilotage marketing encore trop “au feeling”
    Les campagnes existent, mais l’entreprise manque d’un tableau de bord clair (CAC, ROAS, taux de conversion, panier, réachat). Sans mesure fiable, l’optimisation reste lente et les budgets se dispersent.
  3. Capacité de production et conditionnement limitée
    Lors des pics (Ramadan, fin d’année, été touristique), l’entreprise subit une tension opérationnelle. Cela entraîne soit des retards, soit des arbitrages qualité/coût, soit des ventes perdues.
  4. Process logistique perfectible (coûts, délais, retours)
    Les coûts de livraison pèsent sur la marge, et les délais peuvent dégrader l’expérience client. À l’export, cette faiblesse devient un frein majeur si elle n’est pas structurée.
  5. Documentation qualité et conformité export incomplète
    Le premium exige des preuves : fiches techniques, conformité, étiquetage, allergènes, certifications éventuelles. Si ces éléments ne sont pas industrialisés, l’accès à certains distributeurs devient difficile.
  6. Manque de visibilité sur les stocks et prévisions
    Les prévisions sont souvent tardives, et l’entreprise subit la demande au lieu de la planifier. Cette situation augmente les ruptures, les sur-stocks et les coûts cachés.

OPPORTUNITÉS (Opportunities)

  1. Croissance de la demande pour le “premium authentique”
    Les consommateurs recherchent de plus en plus des produits traçables, de qualité, avec une histoire. Le positionnement d’AtlasDelice colle à cette tendance, surtout sur des marchés urbains et touristiques.
  2. Développement de l’export vers l’Europe via niches (épiceries fines, concept-stores, marketplaces)
    L’Europe offre un terrain favorable pour les produits premium du terroir, à condition d’avoir une logistique et une conformité solides. Les circuits de niche peuvent servir de tremplin avant des volumes plus importants.
  3. Partenariats avec hôtels, riads et acteurs du tourisme
    Le tourisme haut de gamme permet d’augmenter la visibilité et de vendre des coffrets à forte marge. Ces partenariats deviennent aussi une vitrine pour l’export (clientèle internationale).
  4. Croissance des ventes par bundles et abonnements
    Le modèle coffrets + abonnements (ex. “box terroir mensuelle”) peut augmenter la récurrence, lisser la saisonnalité et améliorer la prévisibilité de trésorerie.
  5. Digitalisation : automatisation marketing et CRM
    Un CRM simple + automatisations (emails post-achat, relance panier, segmentation) peut faire progresser fortement le taux de conversion et le réachat sans exploser les coûts.
  6. Valorisation via labels/certifications ou engagements RSE
    Sans forcément viser la complexité, un cadre clair (qualité, éthique, producteurs, emballages) peut renforcer la différenciation et faciliter l’entrée chez certains distributeurs.

MENACES (Threats)

  1. Hausse des coûts des matières premières et de l’énergie
    Les coûts de production et de transport peuvent grimper rapidement, comprimant la marge. Si le positionnement premium n’est pas soutenu par une perception de valeur forte, l’augmentation des prix devient difficile.
  2. Concurrence directe : marques premium + copies à bas coût
    Le marché attire des acteurs structurés (marques installées, distributeurs) mais aussi des offres “look premium” moins chères. Le risque est double : pression sur les prix et confusion pour le client.
  3. Risque de rupture d’approvisionnement (climat, récoltes, volumes)
    Une mauvaise saison peut réduire les volumes ou dégrader la qualité. Une entreprise premium ne peut pas se permettre une variabilité trop forte, sous peine de casser la confiance.
  4. Durcissement des exigences réglementaires à l’export
    Étiquetage, normes, allergènes, traçabilité, conformité des emballages… À l’export, ces points peuvent devenir des barrières d’accès si la documentation n’est pas prête.
  5. Saturation publicitaire et hausse des coûts d’acquisition digitale
    Les coûts publicitaires augmentent. Si l’entreprise ne maîtrise pas ses indicateurs marketing, elle peut dépenser plus pour vendre autant, voire moins.
  6. Réputation : avis clients et incidents qualité
    Une seule erreur (lot, livraison, packaging) peut provoquer des avis négatifs, surtout en e-commerce. La réputation devient un actif fragile qui nécessite des process.

Lecture rapide : ce que révèle la SWOT (diagnostic synthétique)

  • Le moteur : qualité + authenticité + potentiel e-commerce + coffrets à forte valeur.
  • Le frein : production/stock/logistique/documentation pas encore “industrialisés”.
  • Le levier : export de niche + tourisme + automatisation CRM + offres récurrentes.
  • Le risque : coûts, concurrence, approvisionnement, exigences export, réputation.

Retour sur les étapes suivies

Ce que nous avons construit, au fond, ressemble à un petit “atelier de fabrication” : au lieu de refaire la mise en page PowerPoint à chaque fois, on alimente une fiche de données, puis le deck se crée tout seul. Résultat : tu gagnes du temps, tu gardes une cohérence visuelle, et tu peux itérer sans te fatiguer à recopier.


1) Le vrai flux de travail

Étape 1 — On écrit l’analyse (sans penser au design)

On commence par ce qui compte vraiment : les idées.
Dans notre cas, on a produit une SWOT complète “Top 8 par quadrant” pour l’entreprise exemple (AtlasDelice), puis on a ajouté :

  • quelques KPI (chiffres de pilotage),
  • une lecture stratégique (TOWS),
  • une roadmap (plan d’actions).

L’objectif à cette étape n’est pas “faire beau”. C’est d’avoir une matière claire, cohérente, et exploitable.


Étape 2 — On met tout dans un JSON (la fiche de données)

C’est ici que l’automatisation commence réellement.

Le fichier JSON est un peu comme un formulaire invisible :
tu y écris tes contenus une seule fois, au même endroit, et c’est lui qui alimente le deck.

Concrètement, le JSON contient :

  • les couleurs (ta charte),
  • le titre + sous-titre + nom,
  • les listes SWOT (Forces/Faiblesses/Opportunités/Menaces),
  • les KPI,
  • les valeurs du graphique,
  • les phrases TOWS,
  • les actions de la roadmap.

➡️ Ce fichier, c’est ta base. Si tu ne dois modifier qu’une chose dans le futur, c’est celle-là.


Étape 3 — On met le JSON au bon endroit (sinon ça ne “trouve” rien)

C’est un point tout simple, mais c’est celui qui bloque le plus souvent.

Pour que le script puisse lire ton fichier JSON, il faut que tout soit rangé ensemble dans le même dossier.

Exemple très concret (Windows)

Tu crées un dossier :
C:\SWOT_PPT\

Tu mets dedans :

  • swot_case_atlasdelice.jsontes données
  • generate_swot_ppt_from_json_portable.jsle générateur
  • (optionnel) GENERER_SWOT_PPT_WINDOWS.batdouble-clic pour générer

Pourquoi c’est important ?
Parce que, quand tu exécutes la génération, le script regarde dans le dossier où tu te trouves.
Si le JSON est ailleurs (Téléchargements, Bureau, etc.), le script ne le voit pas et tu obtiens “JSON introuvable”.


Étape 4 — On lance la génération (le moment “magique”)

Ici, tu déclenches la fabrication du deck.

Méthode terminal (standard)

Dans PowerShell ouvert dans le dossier :

npm init -y
npm i pptxgenjs
node generate_swot_ppt_from_json_portable.js swot_case_atlasdelice.json Deck_SWOT_AtlasDelice_genere.pptx

À la fin, tu récupères un PPTX propre, rempli, prêt à ouvrir.

Méthode simple (double-clic)

Si tu utilises GENERER_SWOT_PPT_WINDOWS.bat :

  • tu double-cliques
  • il installe ce qu’il faut (si besoin)
  • il crée le PPT automatiquement

2) Le JSON expliqué “comme à un humain”

Un JSON peut sembler technique, mais en réalité, c’est juste un fichier de texte structuré.

A) La partie “couleurs” (brand)

C’est ta palette : tu changes les couleurs ici, et tout le deck suit.

  • accent : couleur principale du deck (barre, boutons…)
  • strength / weakness / opportunity / threat : couleurs des 4 blocs SWOT
  • bg : fond
  • text : texte principal
  • muted : texte secondaire

Une fois que tu as compris ça, tu peux décliner ton deck en “bleu corporate”, “vert olive”, “noir premium”… juste en changeant quelques lignes.


B) La partie “contenu SWOT”

Tu as 4 listes, et chacune contient tes points.

  • Forces = ce qui te porte
  • Faiblesses = ce qui te ralentit
  • Opportunités = ce que tu peux saisir
  • Menaces = ce qui peut te freiner ou te casser

Tu peux remplacer chaque ligne par tes vrais points métier.
Conseil : une bonne ligne SWOT, c’est court, concret, et lisible à l’écran.


C) La partie “KPI + Graphique”
  • Les KPI sont des “cartes” qui affichent : label / valeur / note
  • Le graphique, lui, prend des valeurs simples (ex : 78, 55, 82, 67)

Ce n’est pas juste décoratif : ça aide à donner une “lecture” rapide en réunion, surtout si tu présentes devant une direction.


D) TOWS + Roadmap

Là, tu passes du diagnostic à la décision.

  • TOWS : une phrase par logique (SO, ST, WO, WT)
  • Roadmap : un plan 0–30 / 30–90 / 90–180 jours avec 3 actions clés

Ce duo rend la SWOT utile : au lieu de rester “constat”, elle devient “plan”.


3) Comment savoir si l’automatisation a réellement marché

Tu ne dois pas avoir à “croire” que ça marche : ça se voit.

Tu sais que c’est bon si :

  • les blocs SWOT affichent tes Top 8
  • la couverture affiche le bon titre
  • les couleurs sont cohérentes
  • le deck est propre, lisible, prêt à présenter

Et dans PowerPoint, tu as aussi l’automatisation “native” :

  • le menu cliquable
  • le graphique modifiable via Modifier les données

4) Pourquoi ce flux devient vite indispensable

Ce système devient vraiment rentable dès que :

  • tu fais des SWOT pour plusieurs entreprises
  • tu dois produire des versions (V1, V2, V3)
  • tu veux décliner des chartes
  • tu veux industrialiser tes livrables (consulting, formation, contenus)

En clair : tu ne “refais” plus des slides. Tu fabriques des decks.


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