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Rapport de gestion d’une SAS : finalité, étapes pour l’établir, plan + modèles éditables

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Le rapport de gestion est un un récit qui raconte les chiffres et les met au cœur de la gouvernance, et n’est pas un simple document administratif à produire « parce que la loi l’impose ». Pour une SAS, c’est le texte qui met en récit les chiffres des comptes annuels, éclaire les choix du dirigeant et prépare le dialogue avec les associés, les partenaires financiers et, parfois, le public.


1. Qu’est-ce que le rapport de gestion d’une SAS ?

Juridiquement, les dirigeants de la société établissent chaque année un rapport de gestion pour accompagner les comptes (bilan, compte de résultat, annexes). Le Code de commerce encadre ce document, qui présente la situation de la société, l’évolution de ses affaires, ses résultats et ses perspectives.

Pour une SAS, le président (ou l’organe de direction prévu par les statuts) rédige en principe le rapport de gestion. Il le soumet aux associés au moment de l’assemblée qui statue sur les comptes de l’exercice. Dans une SASU, lorsque le rapport est obligatoire, le président l’établit pour l’associé unique et l’annexe à la décision d’approbation des comptes.


2. SAS concernées : obligation légale ou choix volontaire ?

Toutes les SAS ne sont pas tenues, en pratique, d’établir un rapport de gestion. Depuis la loi de 2018 et les textes qui l’ont complétée, l’obligation dépend principalement de la taille de l’entreprise.

  • Les sociétés commerciales de la catégorie des “petites entreprises” sont dispensées de l’obligation de rapport de gestion, sauf exceptions (secteurs financiers, assurance, etc.) ou si les statuts imposent expressément ce rapport.
  • En revanche, toutes les sociétés qui dépassent deux des trois seuils suivants doivent établir un rapport de gestion :
    • 7,5 M€ de total de bilan ;
    • 15 M€ de chiffre d’affaires net ;
    • 50 salariés.

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Par ailleurs, une loi de 2025 est venue préciser que les micro-entreprises (au sens européen) sont explicitement dispensées de rapport de gestion lorsqu’elles ne dépassent pas deux des trois seuils suivants : 10 salariés, 450 000 € de bilan, 900 000 € de chiffre d’affaires.

Enfin, même quand la loi dispense la SAS, les statuts peuvent prévoir que les dirigeants doivent malgré tout établir un rapport de gestion chaque année. Dans ce cas, l’obligation est d’origine contractuelle : la société doit respecter sa propre charte de gouvernance.


3. À quoi sert concrètement le rapport de gestion ?

Pour les associés, le rapport de gestion guide la lecture des comptes. Là où le bilan et le compte de résultat alignent des chiffres, le rapport explique pourquoi le chiffre d’affaires progresse ou recule, comment la marge évolue, quels événements marquent l’exercice, comment la trésorerie se pilote et quelles décisions structurantes la direction prend.

Pour le dirigeant de la SAS, c’est un outil de pilotage et de mémoire. D’une année sur l’autre, il permet de garder une trace écrite des grandes orientations, des risques identifiés, des projets engagés, des tensions rencontrées sur le marché. En relisant plusieurs rapports successifs, on voit se dessiner la stratégie, les inflexions, les points de vigilance récurrents.

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Pour les partenaires extérieurs (banques, investisseurs, grands clients), le rapport de gestion constitue un signal de sérieux. Même lorsqu’il n’est pas déposé au greffe, il peut être communiqué sur demande : c’est une manière de montrer que la société connaît ses chiffres, assume ses choix et est capable de les expliquer.


4. Le contenu standard d’un rapport de gestion de SAS

Le contenu du rapport de gestion a évolué récemment, notamment sous l’effet de l’ordonnance de 2023 transposant la directive européenne CSRD. À partir de 2025, les sociétés soumises à l’obligation de rapport de gestion doivent intégrer plusieurs blocs thématiques.

Pour une SAS « classique » qui n’entre pas dans la catégorie des grandes entreprises, le rapport de gestion comporte généralement :

Un exposé de la situation de la société et de l’évolution de ses affaires


Il s’agit de présenter le modèle économique, le positionnement sur le marché, les principaux segments d’activité et leur évolution. Le dirigeant commente les tendances : croissance ou recul du chiffre d’affaires, évolution de la rentabilité, changements dans la structure des coûts, impact d’événements exceptionnels.

Une analyse du résultat et de la situation financière


Ce passage fait le lien avec les comptes : structure du bilan, niveau d’endettement, capacité d’autofinancement, investissements réalisés, politique de distribution de dividendes. L’objectif est de donner au lecteur une vue claire de la solidité financière de la SAS et de sa capacité à financer sa croissance.

La présentation des événements significatifs postérieurs à la clôture


Le rapport de gestion revient sur les faits importants intervenus entre la date de clôture et l’arrêté des comptes : acquisition, cession d’activité, litige majeur, changement de gouvernance, signature d’un contrat structurant… Ces éléments permettent aux associés de ne pas juger la société sur une photo figée mais d’intégrer les développements récents.

Les activités de recherche et développement


Lorsque la SAS mène des travaux de R&D (innovation produit, développement logiciel, procédés industriels), ceux-ci doivent être décrits, ne serait-ce que brièvement : objectifs, montants engagés, principales avancées. Pour une société innovante, cette partie est l’un des marqueurs de sa stratégie de long terme.

L’indication des succursales et principaux sites


Si la société dispose de succursales ou de sites significatifs en France ou à l’étranger, le rapport les mentionne. Il peut aussi préciser les réorganisations éventuelles : ouverture ou fermeture d’un établissement, déménagement, regroupement de services.

Les indicateurs clés de performance (KPI) financiers et non financiers


La réglementation encourage désormais l’intégration d’indicateurs synthétiques, lorsqu’ils sont nécessaires à la compréhension de la marche des affaires. Ils peuvent être financiers (taux de marge, niveau d’endettement, délai moyen de paiement) ou non financiers (taux de rotation du personnel, indicateurs environnementaux ou sociaux). L’idée est d’éclairer le lecteur sur ce qui fait réellement fonctionner la SAS au quotidien.

La description des risques et des politiques de couverture


Le rapport doit identifier les principaux risques auxquels la société est exposée : dépendance à quelques clients, tension sur certains approvisionnements, volatilité des prix, risques de change, risques de liquidité, risques informatiques… Il décrit également, lorsque c’est pertinent, les instruments de couverture utilisés et la politique de gestion des risques mise en œuvre. )

Pour les grandes entreprises au sens de la réglementation, le rapport de gestion doit aller plus loin encore, notamment sur les ressources incorporelles essentielles (données, marques, technologie, capital humain) et sur les enjeux de durabilité et d’impact extra-financier.


5. Rapport de gestion, comptes annuels et vie sociale de la SAS

Dans le calendrier juridique d’une SAS, le rapport de gestion s’inscrit dans la séquence de clôture des comptes. L’exercice se termine, la comptabilité est arrêtée, puis le dirigeant prépare son rapport en s’appuyant sur ces comptes.

Le rapport de gestion est ensuite présenté aux associés en même temps que les comptes, dans le délai légal d’approbation (en pratique, six mois après la clôture pour la plupart des sociétés, sauf prorogation décidée par le président du tribunal de commerce). Il sert de base aux débats et à la décision d’approbation de la gestion.

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Depuis plusieurs années, le dépôt du rapport de gestion au greffe n’est plus obligatoire pour la plupart des sociétés commerciales, y compris les SAS. En revanche, le document doit être tenu à la disposition de toute personne qui en fait la demande, les frais de délivrance étant à la charge du demandeur. Certaines sociétés, notamment celles dont les titres sont admis sur un marché réglementé, restent soumises à des obligations spécifiques de dépôt et de publicité.

Lorsque la SAS est dotée d’un commissaire aux comptes, celui-ci prend connaissance du rapport de gestion dans le cadre de ses diligences : il vérifie notamment la cohérence des informations qualitatives avec les comptes et, dans certains cas, la présence des mentions imposées par les textes.


6. Quelques bonnes pratiques pour un rapport de gestion utile

Au-delà des obligations juridiques, un rapport de gestion de SAS gagne à être conçu comme un véritable document de pilotage. Plusieurs réflexes peuvent faire la différence.

D’abord, il est précieux de stabiliser une architecture d’une année sur l’autre : mêmes grandes rubriques, même ordre de présentation, même manière de commenter les chiffres. Les associés peuvent ainsi comparer plus facilement les exercices, repérer les tendances et comprendre les inflexions.

Ensuite, le rapport de gestion gagne à rester lisible et incarné. Un texte trop technique, saturé de jargon, perd son public. À l’inverse, quelques phrases clairement rédigées, qui expliquent les choix, assument les difficultés et décrivent les perspectives, donnent au document une vraie valeur de gouvernance. Le rapport n’est pas une plaquette marketing, mais il n’est pas non plus réservé aux spécialistes de la comptabilité.

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Il est également utile de faire dialoguer le rapport de gestion avec les autres outils de pilotage de la SAS : tableaux de bord, reporting mensuel, plans d’investissement. Le rapport de gestion devient alors la synthèse annuelle, structurée et partageable, de tout le travail de suivi réalisé au fil de l’exercice.

In fine, il est prudent de garder à l’esprit que le rapport de gestion, même lorsqu’il n’est pas systématiquement publié, peut être communiqué à des tiers et analysé de près. Sa rédaction mérite donc rigueur, cohérence avec les comptes et relecture attentive, éventuellement avec l’appui de l’expert-comptable ou d’un conseil juridique.

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Pour une SAS en croissance, il devient, au fil des années, une véritable chronique de la stratégie de l’entreprise, un fil narratif qui accompagne ses comptes et éclaire ses choix. Pour aller plus loin dans un cas précis (taille de la société, secteur, particularités statutaires), il reste toutefois recommandé de se faire accompagner par un professionnel du droit ou du chiffre.

1. Identité du rapport de gestion de SAS

Le rapport de gestion d’une SAS est un document annuel de gouvernance, rédigé par le président ou l’organe de direction, qui accompagne les comptes de l’exercice. Prolongement du bilan, du compte de résultat et de l’annexe, il propose une lecture expliquée et commentée de la situation de la société, de son évolution, de ses forces et de ses fragilités. Signé par le dirigeant, il engage sa responsabilité vis-à-vis des associés et, le cas échéant, des tiers.

2. Sa finalité : informer et rendre les comptes lisibles

Sa finalité première est d’informer et de rendre les comptes compréhensibles, même pour un associé non spécialiste : évolution de l’activité, faits marquants de l’année, situation financière, perspectives et risques identifiés. Au-delà de l’obligation légale, il assure la transparence, nourrit la confiance et prépare le dialogue en assemblée.

3. Sa dimension chiffrée et stratégique

Il devient un véritable outil de pilotage stratégique, en commentant le chiffre d’affaires, la marge et le résultat, en expliquant les investissements, l’endettement, la trésorerie et en mettant en avant des indicateurs clés qui éclairent la performance réelle de la SAS.

Les grandes étapes pour l’établir

L’élaboration d’un rapport de gestion suit un enchaînement assez naturel : on rassemble, on comprend, on organise, puis on met en mots.

Rassembler les données


Tout commence par la matière première : les chiffres et les faits. Les comptes sont clôturés, les tableaux de bord récupérés, les indicateurs opérationnels compilés. On ajoute les informations sur les événements marquants de l’exercice : signature d’un gros contrat, perte d’un client important, litige, investissement, réorganisation interne… C’est ce socle qui va nourrir toute la réflexion.

Analyser l’exercice

Vient ensuite le temps de la lecture approfondie. Il ne s’agit plus seulement de constater un résultat, mais de comprendre ce qu’il raconte : pourquoi le chiffre d’affaires progresse ou recule, quelles sont les causes des variations de marge, quels risques se renforcent ou, au contraire, se dissipent. Le dirigeant met en perspective les chiffres et dégage les messages essentiels à transmettre aux associés.

Structurer le plan


Une fois le diagnostic posé, le rapport prend forme. Les informations sont organisées en rubriques cohérentes : présentation de la société et de son activité, analyse de l’exercice écoulé, situation financière, principaux risques et perspectives, événements postérieurs à la clôture, description des travaux de R&D le cas échéant. Ce plan sert de fil conducteur et évite les répétitions ou les oublis.

Rédiger et mettre en forme


La rédaction peut alors commencer. L’objectif est de produire un texte clair, en français courant, qui commente les chiffres sans jargon inutile. Chaque partie fait le lien avec les comptes et avec les documents transmis aux associés, afin que tout reste cohérent. La mise en forme (titres, sous-titres, tableaux de synthèse) doit faciliter la lecture plutôt que la compliquer.

Relire, valider, signer


Avant de le considérer comme définitif, le rapport mérite une relecture attentive : vérification des données chiffrées, harmonisation des formulations, corrections de fond et de forme. L’expert-comptable ou le commissaire aux comptes peuvent être sollicités pour un regard extérieur. Une fois ces vérifications faites, le président signe le rapport et l’assume pleinement.

Présenter et archiver


Le document est ensuite présenté aux associés, en même temps que les comptes, ou à l’associé unique dans le cas d’une SASU. Il est annexé au procès-verbal d’approbation des comptes, puis conservé parmi les archives sociales, aux côtés des autres pièces structurantes de la vie de la société.

Au final, le rapport de gestion d’une SAS s’apparente à une véritable pièce d’identité narrative et chiffrée : il décrit l’entreprise telle qu’elle se tient à la fin de l’exercice, retrace le chemin parcouru et prépare les décisions qui dessineront la suite.

Le plan type d’un rapport de gestion

Pour être utile, un rapport de gestion ne doit pas être une accumulation de rubriques plaquées les unes à la suite des autres. Il gagne à suivre un plan stable, lisible, que les associés retrouvent d’une année sur l’autre. Ce plan joue le rôle de colonne vertébrale : il guide la lecture, met en évidence les messages essentiels et évite de perdre le lecteur dans des détails techniques.

1. Une introduction qui pose le décor


Le rapport commence par une courte introduction. Le président rappelle l’exercice concerné, situe brièvement le contexte (année de lancement, de consolidation, de crise, de reprise…) et annonce les grands thèmes qui seront développés : évolution de l’activité, principaux faits marquants, enjeux de l’année. En quelques lignes, le lecteur comprend où il met les pieds et ce qu’il doit attendre du document.

2. Présentation de la société et de son activité


Vient ensuite une partie consacrée à l’identité de la SAS : objet social, modèle économique, marché cible, organisation générale. On y présente les lignes d’activité, les segments de clientèle, les principaux produits ou services. Cette section rappelle « qui nous sommes » et « ce que nous faisons », ce qui permet de relire les chiffres à la lumière du métier réel de l’entreprise, et pas seulement à travers des postes comptables.

3. Analyse de l’exercice écoulé


Le cœur du rapport se trouve souvent ici. Le dirigeant raconte l’année écoulée : progression ou recul du chiffre d’affaires, évolution des marges, résultats obtenus, contrats gagnés ou perdus, difficultés rencontrées, choix stratégiques posés. Il ne s’agit pas d’empiler des pourcentages, mais d’expliquer les mouvements : pourquoi la rentabilité s’améliore ou se dégrade, quelles décisions ont pesé sur les comptes, quels changements ont affecté l’activité au quotidien.

4. Situation financière et structure du bilan


Cette partie met en perspective les chiffres-clés du bilan et de la trésorerie. On y décrit la structure des capitaux propres, le niveau d’endettement, les investissements réalisés, la capacité d’autofinancement, les besoins en fonds de roulement. Quelques indicateurs bien choisis suffisent à montrer si la SAS avance sur des bases solides, si elle dispose de marges de manœuvre ou si certaines fragilités appellent la vigilance.

5. Risques, incertitudes et perspectives


Une section du rapport présente clairement les principaux risques : concentration du portefeuille clients, dépendance à certains fournisseurs, tension sur les recrutements, exposition aux variations de prix ou de taux, risques technologiques ou réglementaires. Le dirigeant ne se contente pas de les énumérer : il décrit la façon dont l’entreprise les suit et précise les mesures de prévention ou de couverture mises en place. Dans la continuité, il expose les perspectives : projets en cours, axes de développement, priorités pour l’exercice suivant.

6. Événements postérieurs à la clôture


Le rapport de gestion ne s’arrête pas à la date de clôture des comptes. Une rubrique est consacrée aux faits significatifs survenus entre cette date et l’établissement du rapport : acquisition d’une participation, signature d’un contrat majeur, changement de gouvernance, sinistre important, réorganisation interne. Ces éléments permettent aux associés d’apprécier la situation actuelle de la société, et pas seulement sa photographie au jour de la clôture.

7. R&D et autres informations spécifiques


Lorsque la SAS mène des travaux de recherche et développement, un développement particulier leur est consacré : nature des projets, montants engagés, avancées majeures. Selon la taille et le secteur, d’autres informations peuvent trouver leur place ici : indicateurs sociaux, données environnementales, éléments sur le capital immatériel (marque, technologie, données, compétences). Cette partie montre comment l’entreprise prépare l’avenir et investit au-delà du seul court terme.

8. Conclusion et regard sur l’avenir


Enfin, le rapport se termine par une conclusion qui rassemble les fils : bilan synthétique de l’année, principaux enseignements, priorités à court et moyen terme. Lorsque cela est pertinent, le dirigeant y rappelle la proposition d’affectation du résultat ou les grandes lignes de la politique de distribution. Le lecteur referme alors le rapport avec une vision claire : où en est la SAS aujourd’hui, où veut-elle aller, et avec quels moyens.

En suivant ce plan, le rapport de gestion cesse d’être un exercice formel : il devient un récit structuré, que l’on peut relire d’une année à l’autre pour mesurer le chemin parcouru et comprendre la cohérence des décisions prises.

1. Qui rédige le rapport de gestion d’une SAS ?

Le président ou l’organe de direction rédige le rapport, en lien avec l’expert-comptable.

2. À quoi sert concrètement le rapport de gestion ?

Le rapport raconte l’année écoulée, explique les chiffres et prépare le dialogue avec les associés.

3. Quand faut-il établir le rapport de gestion ?

Le dirigeant l’établit chaque année, après la clôture des comptes et avant l’assemblée d’approbation.

4. Une petite SAS doit-elle toujours faire un rapport de gestion ?

Une petite SAS peut bénéficier d’une dispense, sauf obligation prévue par la loi ou les statuts.

5. Que contient en priorité le rapport de gestion ?

Il présente l’activité, les résultats, la situation financière, les risques principaux et les perspectives essentielles.

6. Quelle différence avec les comptes annuels ?

Les comptes donnent les chiffres bruts, le rapport de gestion les explique, les commente et les met en perspective.

7. Les associés lisent-ils vraiment ce rapport ?

Un rapport clair, sincère et structuré devient un vrai support de discussion et de confiance.

8. Peut-on réutiliser le même modèle chaque année ?

Un modèle stable rassure, à condition d’actualiser vraiment les chiffres, les commentaires et les risques.

9. Le rapport de gestion est-il communicable aux banques ?

Les banques apprécient un rapport soigné, qui montre le sérieux du pilotage et la maîtrise des risques.

10. Que risque un dirigeant qui néglige ce rapport ?

Un rapport bâclé fragilise la gouvernance, le climat de confiance et, parfois, la position du dirigeant.

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